À la découverte de Tokyo période Edo

Pour notre troisième journée dans la capitale, nous avons décidé de nous promener au parc d’Ueno. Nous sommes arrivés de bonne heure au parc. Le vent était au rendez-vous mais n’a pas réussi à nous décourager. Nous sommes tombés sur un très beau temple au milieu d’un champ de lotus, malheureusement fané en cette période automnale. Puis, nous avons fait le tour du lac. Les pédalos cygnes continuent de traumatiser Gabriel et Frédérique.

Notre promenade s’est poursuivi par la visite du musée de Shitamachi et ses reconstitutions de Tokyo à la période Edo. Nous avons beaucoup aimé, en particulier la manipulation de jouets d’époque. Il y avait même des toupies et des bilboquets.

Puis suite de la promenade, nous nous réservons le musée national pour une prochaine fois. Et, nos estomac nous ont guidés vers la sortie. Après avoir flâné dans une boutique de goodies (produits dérivés), nous avons arpenté Ameya-yokochô, théâtre du marché noir pendant la Seconde guerre mondiale. Pour le repas, nous avons craqué pour une pizza et des pâtes à la carbonara. On sent que nous sommes partis depuis longtemps…

L’après-midi, direction le quartier d’Iidabashi, nous avons passé un agréable moment dans le jardin Koishikawa Kôrakuen, réputé pour ses paysages.

Nous avons fini la journée par la Jimbocho et ses nombreux bouquinistes.

Notre troisième journée a encore été bien remplie. Demain direction le parc du palais impériale et après Shibuya…

4 pensées sur “À la découverte de Tokyo période Edo

  1. manche maryse

    Toujours très intéressant de vous suivre à travers vos récits si vivants qu’on s’y croirait : Gaby m’a donné envie de fruits de mer…..je constate que vous commencez à avoir le mal du pays : une pizza !!!
    Encore quelques jours et vous pourrez de nouveau manger nos bons plats bien de chez nous
    et consistants !!!

    Bonne continuation,
    Gros bisous

    • Frédérique DUCHIRON

      Non non, c’était bien le parc d’Ueno, nous avions mis un véto sur Disneyland Tokyo sinon, je pense que Camille nous y aurais volontier traînés. Déjà que nous n’avons pas pu l’empêcher de se précipiter dans la boutique Disney que nous avons croisé à Shibuya… Je suppose que la tradition c’étaient les barques sagement rangées derrière les pédalos…
      Bises
      Frédérique

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